VISITE GUIDEE #9, GLORIA IN ARCADIA

N. Poussin, Autoportrait, 1650
GLORIA IN ARCADIA (1)
Sur les épaules du Poussin …
« In Vestigiis Poussin », cqfd. « dans les pas de Poussin », ou, sur les épaules d'un géant, cette promenade raisonnera pour les esthètes, les poètes et autres anachorètes mais aussi pour vos yeux, votre cœur et votre esprit. « Follow-me please ». Aile Richelieu, 2ème étage, Salle 14 : Poussin, Le chemin / Poussin, le Romain / Poussin le moderne et l'ancien / Intermède Le Lorrain, quatre saisons, une fin. [Gloria in Arcadia, Sur les épaules du Poussin.pdf]*                                                                             Poussin, Le Chemin...


Il était une fois Poussin, il était une fois un géant, il était un géant, il est un géant vivant dans les hauteur du Louvre, un géant du musée, un géant des musées, un géant de l'art, un géant latin, notre Nicolas Le Grand, « Peintre des gens d'esprit», « peintre philosophe », « peintre savant », le guide de tant de peintres et naturellement le peintre d'autant de guides. Portés à nouveau par la faconde de
Michel Lhéritier (2), nous passons à grand pas le portrait de « Jean le Bon » (1360) en salle 1, ouvrant sur un département de 77 salles tout autour de la Cour Carrée, salles Daru et Mollien du premier étage de l'Aile Denon incluses. On trouve des Poussins dans six (3) d'entre elles. La Rotonde des Saisons à l'angle de l'Aile Sully est parmi les must des collections nationales. Difficile avant cela de snober Henri Bellechose et son « Retable de Saint-Denys » (1415) en salle 3, moins d'éviter la souffrance du Christ de Quarton E. dans celle d'après ; « Pietà de Villeneuve-les-Avignon ». Salle 7, Le portrait de « François 1er » (1530) par Jean Clouet en mode Mona Lisa tout comme « Eva Prima Pandora », (c. 1545), par Jean Cousin en mode Fontainebleau, salle 9, impose néanmoins une génuflexion utile à la maïeutique de l’œuf Poussin près à apparaître. Les caravagesques français en salle 11, puis la salle Louis XIII complètent aisément un diaporama express du socle pictural français précédant l'avènement du maître. De cet ensemble d’œuvres, « La diseuse de bonne aventure » (1628) du Valentin (1591-1632) convoque facilement l'esthétisme de la contre-réforme : dramatisation de la représentation, éclairages clairs-obscurs, fonds monochromes et sombres, réalisme populaire, faible nombre de personnages représentés, silhouettes mi-corps. Son « Jugement de Salomon » (4) s'oppose encore mieux à celui proposé par Poussin en Salle 14. Le travail de Vouet (1590-1649) est moins différencié ou différentiable malgré sa formation romaine sous influence caravagesque (1612-1627). L'idée que Louis XIII et Richelieu impose au tournant de la décennie 1630-1640, une diplomatie du Grand Style explique partiellement ce constat. Quand la France se projette en Nouvelle Romaine, les anglais ne se rêvent-ils pas en Nouvel Israël (5)? La France perd alors Poussin mais remportera néanmoins la bataille des arts.


Poussin, le Romain ... 
1924. Poussin a trente ans quand il s'installe à Rome où il meurt quarante printemps plus tard en 1665( 6) . À 71 ans. Son court séjour français de 1640 à 1642 sert de pivot autant à la compréhension de l'œuvre que pour la personnalité de l'artiste. A contre courant de la révolution Caravage (1571-1610) , Le Poussin est un artiste de peu de commandes officielles, financés principalement par quelques collectionneurs particuliers lui laissant une grande liberté dans le traitement des sujets. Sa nature n'est toutefois pas authentiquement romaine ; chênes et bouleaux y règnent davantage qu'oliviers et cyprès, remarque à juste titre Michel Déon (7) de l'Académie Française qui parle de « réel-imaginaire » à propos du maître. Son discours devant l'Académie (2006) sur l'Orphée et Eurydice (c.1650-1653) est un prolongement délicieux à notre Spatiatur in Arcadia. Nous l'écartons dès lors du commentaire tout comme les six œuvres de jeunesse de la salle 13, « Bacchanales », car à ce point du récit, la visite est à peine amorcée. Quoique d'apparence terne et scolaire (8), «L'inspiration du poète» (c. 1629-1630), salle 12, suffit à planter quelques grands principes régissant le travail de l'artiste. Le point de vue facial et centré pour commencer ! Les personnages sont campés dans un cadre sans hors-champs. Les éclairages sont alternés par plan pour animer la scène et la perspective. Le peintre est poète comme Homère et Virgile dont les ouvrages sont représentés au sol (Ilias, Odyssea, Aeneidos). Ses références sont littéraires, historiques, religieuses, savantes, cruciverbiques. Souligner dès lors à l'instar de Michel Lhéritier que « la perfection de la représentation des sandales comme une passion méconnue du génie », permet de se sentir pousser les ailes d'un sourire. L'inspiration du poète est celle du peintre ! Le format (183X213) plus grand que d'habitude justifie son affichage indépendant du reste de la collection. Moquer alors l'identité de l'homme à la lyre sans corde est une astuce carambar pour hâbler des deux qu'il aurait offert pour ses dons et en honneur des neuf filles de Mnémosyne à Orphée, fils de Calliope, debout à la gauche du beau manitou. D'emblée, la trilogie primaire de la couleur des chitons s'additionne aux directives académiques pré-listés. Derrière « L'inspiration du poète », salle 13, « Echo et Narcisse » (9) (c. 1630), facilement reconnaissables à l'étang et au rocher qui structurent le décor, sont une preuve supplémentaire à la poétique antique du maestro et son intermédiation divinatoire qui suggère l'idée d'une lamentation christique adoucie par les Métamorphoses. L'eau comme le ciel font œuvre de providence. « Avec Poussin et pour les classiques, le tragique est suggéré mais jamais imposé » conclut le guide.

Poussin, l'art divin …


L'art de Poussin, plus divin que religieux est une interprétation du titre de l'exposition 2015 « Poussin et Dieu » (10). La formule conditionne une articulation solide des exégèses, des mythes grecs et de l'histoire romaine. Chaque œuvre est un poème ou mériterait de le devenir. Chaque œuvre a sa citation littéraire. Certaines sont des tubes, d'autres sont des odes, les 4 Saisons sont l'hymne. On se sent facilement débordé à l'abord de tant d'heures faîtes or. Michel Lhéritier, descendant d'Hercule Gaulois, y va un par un après avoir éliminé le seul des 16 qui n'est pas de Poussin mais du Le Brun Lyonnais, Thomas Blanchet (11), un « Moïse sauvé des Eaux ». Récemment démasqué (1985), on reconnaît néanmoins facilement l'entourloupe au regard de la version poussinnienne (1638) léguée par Le Nôtre en 1693 (12). Trois modèles existent du même scénario. Celui de la National Gallery of Art est le plus achevé. Là où est Moïse, Le Poussin tient son chevalet. Après la figuration humaine du Nil et l'identification de la fille pharaon, la difficulté est de repérer Myriam la sœur proposant les services de sa mère Jacobed pour nourrice. Reste quatorze toiles. Cinq sont antérieures à son séjour parisien, neuf postérieures. « Et in Arcadia Ego » (1638) aimante logiquement notre attention. «Admirez la gamme des sandales romaines», pouvez-vous alors affirmer, façon « Block and Bridge » (13); détourner l'attention pour mieux la canaliser sur la question du nombre de personnages visibles dans le tableau, est une technique en vogue. A considérer que la femme incarne la Beauté représentative de l'Arcadie et l'ombre en forme de faux du bras du berger agenouillé, la mort … « Moi aussi, j'ai été en Arcadie », cela fait cinq. « Le plus bel exemple de la pensée en peinture » dit Jean-Louis Vieillard-Baron (14); de l'invisible en peinture aussi.
Des branchages ourdis d'escarpes en arrière-plan à l'effroi voisin de « La Peste d'Ashod », l'Arcadie s'éloigne à grand pas. Au-delà du mendiant qui se gratte symptomatiquement la fesse sur les marches en arrière plan ou de la localisation du trône d'Adonaï en place de l’effigie déboulonné de Dagon, la scène est l'occasion de souligner l'écho graphique de la gestuelle des personnages principaux reproduites de façon méthodique à l'instar des deux hommes se cachant le visage et les lignes marquées par leurs bras repoussant chacun un enfant, comme un procédé caractéristique du peintre qui facilite ensuite la perception de « L'Enlèvement des Sabines » (1637-1638), manifeste de la peinture d'Histoire, ou du « Jeune Pyrrhus sauvé » (1634), des « Israélites recueillant la manne dans le désert » (1637-1639). Là, Moïse et Aaron sont le miroir des deux énormes rochers du fond. Autant que le double jeu permanent entre lecture profane et sacré des tableaux, la réalité de la représentation des récits bibliques et historique est une autre constante du Poussin, une volonté archéologique d'examiner la foi.

Poussin, le moderne et l'ancien ...
Présenter Le Poussin comme une Bible partagé en deux testaments par son séjour parisien relève de la simplification même si à la quarantaine passée, parler de maturité rime machinalement avec sérénité. L'affichage de la salle favorise d'ailleurs ce raccourci consistant à rapporter les œuvres inspirées par la geste romaine et Les Évangiles, aux œuvres de jeunesse et les œuvres relatives à L'Ancien Testament à des travaux post-cinquantaine. La réalité est naturellement plus complexe mais l'énoncer ainsi, favorise autant la vulgarisation que le propos à suivre sur « La rencontre d'Eliezer et Rebecca », la Chaldéenne (Genèse, 24), peint en 1648. A l'instar du « Christ et la femme adultère », de « La mort de Saphire » ou encore du « Jugement de Salomon », la géométrie interne de la composition justifie la revendication des origines françaises du cubisme. Les quatorze figures intégrées à la manière d'une frise dans un paysage d'architecture, contrastent par la courbe des corps et des cruches, avec les différents plans verticaux et horizontaux, le tout ordonné selon la règle des trois-tiers et le jeu de multiplication de la sphère comme autant de symboles dédiés à la grâce, la fertilité, la providence, la vertu.
P. Véronèse, Eliézer
Rebecca, c.1550,
Versailles
Quant aux origine des trois monothéismes, elles passent par ce puits de Nahor ou Nachor en Mésopotamie. Eliézer, intendant d'Abraham y est missionné pour trouver une épouse à son fils Isaac. Rebecca, en bleu cobalt parmi douze autres femmes imaginées par Poussin est la plus avenante auprès du voyageur et de ses bestiaux. La lecture typologique du Livre y perçoit une préfiguration de l'Annonciation. « Mais où sont les chameaux ? » glosent certains dès 1668 aux conférences mensuelles de l'Académie à Paris. Le texte parle bel et bien de dix bêtes. Paulo Véronèse en représente cinq dans sa version versaillaise ! Le Brun monte au créneau répétant comme Poussin à ses ouailles : « Lisez l’histoire et le tableau ! ». C'est la querelle des chameaux (15) ou du naturalisme qui se confond avec celle du colorie, Félibien et Roger de Pil, Anciens et Modernes. Au cœur : la vérité en peinture ! De l'ordre de l'interprétation pour Le Brun, elle tient davantage de la transcription pour Champaigne qui défend un lien ontologique entre l'image et l'original. « Le Christ est l'image du père », et, le défaut de vérité entraîne un défaut de beauté. Pour Le Brun pas de chameaux, pas de lézards ! Les trois règles académiques sont respectées : mise en scène de l'action principale, distribution des figures en groupes, expressions des passions. Poussin est donc d'abord moderne avant de devenir ancien, détrôné par Rubens, dès la fin du siècle. Trop de figurations et  d'intellectualisation lasse et limite la créativité des nouvelles générations sans découdre néanmoins de l'idée platonicienne du modèle poétique et verbal de la peinture qui sera contredit au XXème par le modèle pictique cher à Soulages, non verbal. La peinture ne raconte pas, ne délivre pas de message. « Arcadia mortuus est ».

Intermède le Lorrain, 4 saisons, 1 fin

Après un clin d’œil à la Peinture coiffée d'un diadème en forme d’œil, dissimulée derrière l'autoportrait du poète, l'apparition en salle 15 de vues portuaires rafraîchit quelque peu le discours par l'apport d'une brise marine caractéristique des œuvres du Lorrain, alias Claude Gelée (1600-1682). Génie de la lumière et de la pâte feuilletée, 9 de ces œuvres y sont mises en relief avec 3 autres de La Hyre, Mauperché et Patel afin d'ouvrir le point de vue sur la peinture de paysage française au siècle d'or. Parmi cet échantillon, « Vue d'un port avec le Capitole » et « Vue de Camp Vaccino » sont les deux exemples de pendants chers à l'artiste mais aussi à l'ameublement bourgeois des salons.
La lumière et les cadres jumeaux plus que les sujets réunissent finalement ces visions d'un port improbable bordé par une copie du Capitole romain et la zone du Forum anciennement dénommé « Campo Vaccino ». Il manque deux travées à l'arc de Septime Sévère mais on reconnaît grosso modo les lieux ; la ruine du Colisée apparaît dans le fond aux plus observateurs. Pas de chameaux en vue ! Le sujet n'a certes rien de sacré mais il est clair que l'histoire comme la mythologie est un prétexte pour peindre la lumière. Voyez « L'arrivée de Cléopâtre à Tarse » en Cilicie. Anatolie méridionale. C'est l'instant de la première rencontre avec Marc-Antoine légèrement détaché de la vingtaine de figurines témoins mais surtout celle du soleil et de la mer en parallèle, du jour et de la nuit, qui annonce Watteau, subjugue Turner et fixe définitivement l'Arcadie à Paris.
Et bientôt, vous pourrez dire « Et in Louvre Ego » ; une fois vu les fameuses 4 Saisons du Poussin en situation dans leur rotonde de la salle 16. Parler d'écrin est exagéré même si le quadriptyque réalisé par Poussin sur la fin, enchanterait n'importe quel espace. La bibliographie du chef-d’œuvre est monumentale mais toute l'autorité du succès de sa présentation repose avant sa rationalisation sur la démythification d'un détail tel que l'image du « Dieu à la moto » en place de l'image du créateur allongé à plat ventre sur un nuage du Paradis Terrestre, plaisante Michel Lhéritier. Dieu ! Le procédé est simiesque mais la comparaison avec le de Dieu de Michel-Ange _ La Création d'Adam (1508-1512), Chapelle-Sixtine _ est, en plus d'être osée et amusante, une branche solide à laquelle se raccrocher. Dit cela, la dynamique consiste à regrouper les œuvres par paire ! "Le Printemps" combine avec "L'Automne" pour s'attacher à des couples de personnages quand "L’Été" et "L'Hiver" montre davantage des groupes de figures. Les saisons sont les grands épisodes du Livre mais aussi de la journée et de la vie. La voie des songes et correspondances est libre. De la parabole du raisin à celle de la grenade, symbole de l’Église rhizome, l'interprétation est libre pour faire remarquer dans chaque visuel la perspective chaque fois plus massive d'une montagne à l'exception du tableau de l'hiver ou celle-ci devient le scénario d'un gros plan final, par exemple. Rideaux!

© Philippe Maurice

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1 – Gloria. Le terme latin peut s'apparenter à l'idée de promenade en plus de celle de gloire. Il évoque l'idée de « glorieta » espagnole qui correspond à la forme ronde d'une place sur laquelle débouche différentes voies. « Adventum in Arcadia » ou « Acardiae Placent » sont deux autres alternatives imaginées.
2 – Visite guidée #4 : « Best of Longhi, Besto of Italie »
3 – Les salles dédiées exclusivement à N. Poussin sont la 13, 14 et 16. Qlqs. Œuvres complètent la collection en salle 19 : « Le Temps soustrait la Vérité aux atteintes de l'Envie et de la Discorde », « Saint François-Xavier rappelant à la vie la fille d'un habitant de Cangoxima au Japon ». La salle 18 est celle du tableau du mois. Il sont souvent deux. La 19 est celle des « Grands tableaux d'autels du XVIIème » : Bourdon, Coypel, Dorigny, La Hyre, Le Brun, Le Sueur, Vouet (16 œuvres). Sur la liste des œuvres de l'artiste réalisée par Wikipédia, de nombreuses attribuées au Louvre n'y sont pas nécessairement présentées à l'hiver 2015-2016.
4 – Jugement de Salomon : Devant reconnaître la mère d'un enfant que deux femmes se disputaient, le roi Salomon ordonna de le couper en deux et d'en donner la moitié à chacune. Salomon vit ainsi en celle qui y renonça la vraie mère.
5 – Bernard Cottret, Cromwell, Ed. Fayard 1992, p. 88 : « A tes tentes, Israël », la phrase se trouve dans la Bible, au second livre des Chroniques (Ch. II, 10 , 16). Ce cri de guerre marque la rupture entre le roi Roboam, et le peuple, prélude à la séparation des royaumes de Juda au nord et d'Israël au sud […] derrière la fracture entre Israël et Juda, comment ne pas lire en filigrane le malheureux conflit entre l'Angleterre et de l'Ecosse ? »
6 – Nicolas Poussin découvre l'Italie dès ses 23 ans plus exactement. Toutes les biographies reportent en effet un premier voyage en Italie entre 1617 et 1619, stoppé à Florence.
7 - Nicolas Poussin et Orphée, par Michel Déon, de l’Académie française, 25/10/2006 : http://www.canalacademie.com/ida1122-Nicolas-Poussin-et-Orphee-par-Michel-Deon-de-l-Academie-francaise.html. Le sujet est tiré des Métamorphoses d'Ovide : Eurydice vient d'être mordue par un serpent, le jour même de ses noces avec Orphée. Celui-ci joue de la lyre sans s'apercevoir de cet accident qui provoquera la mort d'Eurydice...
8 – N. Poussin, « L'inspiration du poète » correspond pour plusieurs génération à la couverture du manuel de littérature au collège, Lagarde & Michard, 2003. Le jeune homme de droite écrivant sous l'inspiration d'Apollon est peut-être Virgile.
9 – N. Poussin, « Écho et Narcisse » c. 1630. 74x100 cm. : Le sujet inspiré des Métamorphoses d'Ovide montre Narcisse, couché au bord de la fontaine, mourant en donnant naissance à la fleur qui porte son nom. A l'arrière-plan, la nymphe Écho, délaissée par son amant, se transforme en rocher et renverra les sons qui la frappent.
10 - Exposition Poussin et Dieu: 30 mars – 29 juin 2015, Catalogue sous dir. Nicolas Milovanovic et Mickaël Szanto, Louvre Editions 2015.
11 – Thomas Blanchet, « Moïse sauvé des eaux ». vers 1655. Le Cabinet des dessins du Louvre possède un dessin signé Thomas Blanchet qui a permis de lui restituer ce tableau entré au Louvre en 1985.
12 – André Le Nôtre (1613-1700), jardinier émérite du Palais de Versailles était aussi un grand collectionneur d'art.
13 – Cf. http://www.franceinter.fr/emission-ledito-politique-block-and-bridge, 05 fév. 2016, 7/9 France Inter 05/02/2016, Edito Thomas Legrand. Cf. «Et pourquoi pas établir la boite de camembert neutre ! » N. Sarkozy
14 - Jean-Louis Vieillard-Baron, « Et in Arcadia Ego – Poussin ou l’immortalité du Beau », Hermann Éditeurs, 2010
15 – René Démoris, Université de Poitiers, « Du texte au tableau, Les avatars du lisible de Lebrun à Greuze», 18/07/2005, 13 p. in Revue La Licorne, Université de Poitiers. (Faculté des Lettres et des Langues). http://edel.univ-poitiers.fr/licorne
15 – Catherine Guegan, « La peinture française du XVII », Conférences automne 1994. http://www.cineclubdecaen.com/peinture/analyse/france17.htm (Résumé)


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